dimanche 8 mars 2015

Délivrance - Jussi Adler-Olsen

Délivrance – Jussi Adler-Olsen
 
Tu le sais, public invisible, je n’aime pas les livres format XXL qui pèsent une tonne et ne rentrent pas dans mon sac à main, depuis qu’il m’est arrivé une  mésaventure avec deux mamies, une canne et une croix gammée (lire ici). Bref, depuis cette regrettable histoire, je ne lis plus que des livres de poche. Et c’est terriblement frustrant ! Frustrant de rentrer dans ma librairie préférée et de voir les derniers nés de mes auteurs favoris me narguer. Tellement cruels avec leurs couvertures colorées ! Mais je reste forte et ne cède pas à la tentation.
Aussi, la semaine dernière, alors que je visitais innocemment le tout dernier magasin Cultura, j’ai eu la surprise de découvrir, au détour d’un rayon, une gondole entièrement dédiée à Jussi Adler-Olsen. Le piège ! J’ai déjà lu Miséricorde et Profanation. Et j’attends, depuis des mois que les autres sortent dans un format compatible avec mon Longchamp. Et miracle ! Il était là, devant moi : Délivrance, avec son bandeau rouge indiquant Nouveauté, le livre de poche. Je n’ai pas hésité une seule seconde, il me le fallait.
Pas la peine de lire le résumé, je l’ai déjà lu mille fois : Une bouteille jetée à la mer a été repêchée puis oubliée dans un commissariat écossais. A l’intérieur un appel au secours en danois, écris avec des lettres de sang. Evidemment ce curieux dossier fini par atterrir sur le bureau de Carl Morck, le chef du Département V de la police de Copenhague. Commence alors une enquête haletante, pleine de rebondissements.
On y retrouve tous les personnages hauts en couleur, qui gravitent autour de Carl et qui nous sont désormais familiers : Assad, le petit assistant syrien, Rose, la secrétaire déjantée, Vigga, l’ex-femme de Carl... Une joyeuse galerie de portraits qui prend vie sous la plume de Jussi Adler Olsen et vient habilement détendre l’atmosphère.
Le problème maintenant est qu’il va encore me falloir attendre le prochain, Dossier 64 et, le petit dernier, l’effet papillon. Tout nouveau, tout chaud.
 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire